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Équipe

«Les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformistes, les dissidents… Tous ceux qui voient les choses différemment, qui ne respectent pas les règles. Vous pouvez les admirer ou les désapprouver, les glorifier ou les dénigrer. Mais vous ne pouvez pas les ignorer. Car ils changent les choses. Ils inventent, ils imaginent, ils explorent. Ils créent, ils inspirent. Ils font avancer l’humanité. Là où certains ne voient que folie, nous voyons du génie. Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent.»

– Jack Kerouac, Sur la route, 1951

L’IRASD est constituée d’une équipe de collaborateurs et de chercheurs œuvrant dans divers domaines. Leurs intérêts gravitent autour d’une volonté de compréhension des problématiques sociales et humaines dans l’unique objectif de participer à l’élaboration de solutions en architecture sociale favorisant des interactions humaines qui induiront des comportements positifs et constructifs afin d’assurer la pérennité durable de la civilisation et la survie équitable et égalitaire de l’humanité.

Les collaborateurs et chercheurs de l’IRASD travaillent tous sur une base volontaire, non rémunérée dans l’objectif de faire avancer les projets de recherche afin d’atteindre les objectifs de la mission de l’institut.

Les chercheurs sont spécialisés dans des domaines d’étude et participent activement en produisant de la documentation. Les chercheurs sont responsables de réaliser des travaux d’observation et de recherche ou de compilation dans divers domaines dans le but de collaborer aux publications de dossiers ou d’analyses sur le site de l’IRASD. Les dossiers et analyses serviront d’intrants afin de produire une publication principale sous forme d’un livre collectif.

Les collaborateurs sont des contacts spécialisés ou généralistes agissant à titre de consultants occasionnels qui suivent les travaux de l’IRASD et peuvent nous alimenter en information ou pistes de recherches. Ils peuvent également être consultés à titre de « spécialiste » par nos chercheurs pour valider ou supporter par leurs connaissances et expériences certains sujets ou aspects spécifiques du plan de recherche. Ils peuvent également participer volontairement à divers aspects organisationnels, opérationnels ou logistiques des activités de l’IRASD. Le tout sur une base libre et volontaire sans aucun engagement de leur part.

Pour nous contacter :
IRASD.SSARI@gmail.com
@IRASD_SSARI 

Stéphane BrousseauDirecteur de recherche
B.Sc. Géologie
Analyste et architecte en technologies de l’information et des communications
Chercheur en architecture de société durable

Charles-Eugène BergeronRelationiste
Technologiste agricole en gestion-conseil aux entreprises
45 ans d’expérience en militance citoyenne et réseautage écosocial, en milieu rural et urbain
Collaborateur

Martin Savard – Chercheur
B.Sc. Biologie
Coordonnateur à la formation – gestion de projets associatifs en environnement

Développement d’un scénario d’architecture sociale pour une société sans argent, post-effondrement, en équilibre écosystémique, à l’échelle du Québec.

Développement de mesures d’urgence à adopter dans les premiers stades d’une situation d’effondrement économique (à la fois financier et commercial). 

Stéphane HairyCollaborateur
Technicien aéronautique
Journaliste d’investigation
Structure organisationnelle, évolution des systèmes humains (économique, politique), comportement humain, sociologie, neurosciences, architecture sociale, dynamique des systèmes.


10 commentaires

  1. Tirel dit :

    Bonjour,
    Si vos intentions sont louables, permettez-moi de vous dire que vouloir implanter un modèle de civilisation, donc l’imposer à la planète entière me fait frémir par ce que cela implique de destruction préalable des civilisations actuelles !! Que pensez-vous faire de toutes les richesses acquises par les diverses cultures ? Cordialement.

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    • irasdssari dit :

      L’IRASD n’impose rien.

      L’humain détruit lui-même à petit feu avec brio sa propre civilisation et met à risque sa propre survie en ignorant et en transgressant les lois naturelles qu’il connaît pourtant très bien par le biais des sciences…

      Les lois immuables et intransgressibles de la nature s’imposent à l’homme qui les transgresse avec ses stratégies comportementales déviantes induites par les concepts et mécanismes de sa société précisément parce que l’humain ne connaissait pas ces lois au moment de commencer à s’organiser en société. Si l’homme ne s’adapte pas à ces lois, il devra en subir les conséquences, ce qui est déjà commencé depuis le début de l’ère industrielle.

      Si l’espèce humaine souhaite survivre et s’adapter à son environnement biophysique tout en respectant son environnement humain, il n’aura aucun autre choix que d’accepter de changer ses stratégies comportementales qui sont essentiellement adaptées à son environnement social.

      L’humain ne réussira jamais à modifier ses comportements sans changer son environnement social, car toute espèce s’adapte aux changements de ses environnements. Et il est utopique de croire que l’homme puisse modifier les environnements biophysique et humain afin de les assujettir à son environnement social.

      L’IRASD effectue des recherches documentaires parmi les connaissances accumulées en sciences pures et sociales afin de faire ressortir une compréhension élargie de la problématique humaine et favoriser l’intégration des divers domaines afin de les appliquer en architecture de société pour proposer des concepts et mécanismes de fonctionnement durables pour la civilisation et l’espèce humaine.

      La résistance au changement de l’espèce humaine engendrera sa perte s’il ne s’adapte pas. C’est là un des symptômes des civilisations au début de l’effondrement. Tout changement passe inévitablement par l’abandon d’un ancien mode pour adopter un nouveau. Il ne s’agit pas d’une destruction, mais d’un progrès qui mène vers une évolution.

      Les richesses acquises par les cultures sont utiles pour l’architecture de société dans la mesure où elles sont directement associées à des connaissances des sciences naturelles et humaines. Toute croyance erronée est potentiellement nuisible et constitue autant de freins au progrès que la résistance au changement.

      Les croyances sont des moyens faciles pour combler le manque de connaissance avec des hypothèses la plupart du temps fausses ou non vérifiables. L’humain a horreur du vide de l’incompréhension. À défaut de faire l’effort d’acquisition de connaissances, il comble ce vide par des croyances erronées.

      C’est malheureusement ce qui constitue les fondations de la culture humaine! Mais cela ne signifie en rien que tout est faux ou mauvais. Il faut utiliser sa capacité cognitive et son jugement avec la somme de connaissances scientifiques pour faire la juste part des choses.

      Vous devez également comprendre que, contrairement aux stratégies comportementales politiques déviantes, la démarche de l’IRASD s’échelonne sur des décennies et les modèles devront être intégrés dans des plans de transition qui devront tenir compte des aspects culturels et de la résistance au changement ainsi que de l’état de la civilisation et des stratégies comportementales humaines à ce moment.

      L’IRASD considère irréaliste que ses travaux puissent être appliqués à l’environnement social humain avant 15 à 25 ans. Et la transition vers les nouveaux modèles de société pourrait prendre 10 à 25 ans. Ce qui nous mène vers 2050 environ. Vous comprendrez que la civilisation risque de s’effondrer d’ici là si rien n’est fait et qu’une bonne partie de l’espèce se sera également éteinte…

      En attendant que les travaux de l’IRASD soient suffisamment avancés, nous continuons à progresser dans nos recherches en les appliquant à des analyses d’observations de comportements psychosociaux de l’espèce humaine qui sont publiées régulièrement sur notre site.

      Nos dossiers de recherche sont également documentés au fur et à mesure de leur rédaction. En faisant preuve de transparence dans nos travaux, nous éduquons l’espèce humaine afin de favoriser la réflexion et sa propre introspection en espérant minimiser les impacts dommageables des mauvaises décisions non planifiées qu’elle risque de prendre d’ici à ce que nos travaux soient applicables.

      Cordialement,

      Stéphane BrousseauDirecteur de recherche
      B.Sc. Géologie
      Analyste et architecte en technologies de l’information et des communications
      Chercheur en Anthropocène et architecture de société durable

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  2. Tirel dit :

    Monsieur,
    Je comprends vos intentions, quoique je ne pense pas que ce soit les peuples qui soient vraiment concernés par vos propos, mais plutôt les décideurs industriels et financiers qui sont aux commandes du navire TERRE. Les peuples ne sont-ils pas « otages » de ces groupes. Et plus qu’une révolution civilisationnelle au niveau des peuples, que pensez-vous faire concrètement pour révolutionner les cerveaux de ces décideurs affamés de pouvoir ???

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    • irasdssari dit :

      Les ignorer totalement et travailler avec le peuple. Car ces individus au pouvoir sont une minorité de l’espèce sans importance comparée à la population des individus du peuple qui forment l’espèce humaine.

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    • irasdssari dit :

      La soif de pouvoir des dirigeants est une stratégie comportementale déviante induite par l’interaction avec la nature humaine de concepts et mécanismes de société erronés.

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  3. filonien dit :

    Voici ce que je pense; jamais il ne peut être question d’essentialiser l’humain, parce qu’il est un être générique dans la pluralité des mondes. Ainsi il n’y a pas chez lui de condition structurelle de la « déviance ». S’il faut pointer un grand aveuglement, une incommensurable bêtise, attribuons-les sans conteste à la civilisation occidentale, à laquelle l’humanité n’est pas réductible.

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    • irasdssari dit :

      Vous n’êtes pas loin du même constat auquel mène la tendance de nos recherches. Mais la situation est beaucoup plus complexe.

      « La vérité peut être déroutante. Un certain travail est nécessaire pour la maîtriser. Elle peut contredire profondément nos préjugés. Elle peut ne pas être conforme à ce que nous souhaitons désespérément être vrai. Mais nos préférences ne déterminent pas ce qui est vrai. » – Carl Sagan

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  4. soleilonord dit :

    J’apprécie vos articles.
    L’humain n’a pas intégré la notion que le vivant n’est pas auto-suffisant.

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  5. Soleilonord dit :

    Certains humains sont comme des plantes invasives qui asphyxient l’environnement et les autres espèces vivantes. Ils oublient que c’est l’environnement, la nature qui les maintiennent en vie.
    Ce comportement est suicidaire.
    Quand la cupidité est banalisée, justifiée, encouragée, légitimée, alors elle devient inconsciente, aveugle.

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    • IRASD.SSARI dit :

      Il importe d’identifier la nature de ces stratégies comportementales déviantes afin d’envisager les correctifs nécessaires pour les endiguer. Le problème est complexe, plusieurs variables entrent en cause; la génétique, l’évolution, l’adaptation, l’influence de défauts de conception de l’environnement social ont tous des impacts sur l’adoption de stratégies comportementales déviantes. Ce sujet constitue le cœur de nos recherches…

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